Propagande mensongère menée par des ONG et des médias contre la Chine

Aujourd’hui, un certain nombre d’organisations non gouvernementales alignées sur les États-Unis ont lancé, en Allemagne, une campagne contre la Chine. Reporters sans frontières (RSF) a mené la campagne avec PEN, Amnesty International et un syndicat de journalistes allemand. Ils ont appelé à une tempête de tweets d’une heure pour demander aux politiciens allemands d’agir pour faire libérer la « journaliste » chinoise Zhang Zhan de sa prison en Chine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La campagne a connu un certain succès. Une recherche sur le hashtag #ZhangZhan montre que beaucoup de personnes mal informées, dont de nombreux journalistes, ont tweeté ou retweeté le sujet.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La désinformation diffusée par Robin Alexander dans le tweet ci-dessus est assez lourde mais pas inhabituelle.

Zhang Zhan n’est pas une journaliste. Elle n’a pas été l’une des premières à poster une vidéo depuis Wuhan. Elle n’a pas fait de reportage sur le COVID-19 mais a protesté contre le succès du confinement. Elle n’est pas en prison pour cette raison.

Les sites d’information allemands Süddeutsche Zeitung et Spiegel parlent de la campagne de RSF. Ces reportages sont encore pires que les re-tweets. Le Spiegel, par exemple, affirme que Zhang Zhan a été « torturée et emprisonnée pour avoir dénoncé la mauvaise gestion de l’épidémie par le gouvernement chinois ».