Pourquoi le Hezbollah remporte des victoires

Voici une analyse détaillée du Hezbollah écrit par un vétéran qui, pendant des années fut correspondant au Liban, qui fut capturé par le Hezbollah;

Tirer les leçons de son passé

Dans son mémoire, intitulé "Not so Wild a Dream", le célèbre reporter-analyste de CBS, Eric Sevareid, raconta avoir assisté à l'exécution publique de six collaborateurs nazis à Grenoble, ville libérée du joug allemand en 1944.

Lorsque le fourgon de police arriva et que les six condamnés à mort en sortir, un épouvantable et terrifiant cri s'éleva de la foule. Les six jeunes hommes marchèrent d'un pas ferme jusqu'aux poteaux en fer. Et pendant que les bourreaux leur liaient les mains derrière ces poteaux, les six collaborateurs tenaient droite leur tête découverte, certains gardant les yeux fermés, d'autres le regard droit devant, par dessus les maisons et la foule, vers les nuages menaçants…

Soudain, un bruit discordant et métallique des culasses de fusils se fit entendre, puis une détonation assourdissante. Les six jeunes hommes tombèrent lentement à genoux, leur tête vacillant d'un côté. Puis un officier se mit à courir avec une hâte frénétique, passant d'un corps à l'autre et leur assénant le coup de grâce avec un revolver. Une des victimes remua légèrement ses lèvres comme pour essayer de dire quelque chose au bourreau. Enfin, lorsque le dernier tir fut tiré, la foule poussa un nouvea cri, terrifiant et sauvage à la fois. Les mères portant leurs bébés se ruèrent pour regarder les corps de plus près, et les petits garçons coururent d'un corps à l'autre en leur crachant dessus. Puis la foule se dispersa, les hommes et les femmes riant et criant. Pouvons-nous qualifier ces actes de barbarie?

Ces évènements firent partie de ce que les Français décrivirent comme l'épuration, ou la purge, de la France à la suite de quatre années passées sous l'occupation allemande. Le nombre de Français, hommes et femmes, tués par la Résistance ou les troupes Kangourou s'élève ordinairement à 10.000. Albert Camus qualifia ceci de 'justice humaine avec tous ses défauts.' Les forces américaines qui libérèrent la France tolérèrent ces actes de vengeance locale contre ceux qui avaient collaboré avec ces cruels occupants. Des dizaines de milliers de Français, encouragés par le gouvernement de Vichy qu'ils croyaient légitime, avaient également collaboré. La plupart, comme les 'milices', des groupes de fascistes armés par Vichy, allèrent plus loin en tuant des Français. Et lorsque les alliés étrangers de Vichy se retirèrent et que le gouvernement tomba, le massacre commença. Ces règlements de compte, perpétrés avec une violence similaire, eurent également lieu dans d'autres provinces de l'ancien Troisième Reich – des pays qui, avec la Grande-Bretagne et les Etats-Unis, sont aujourd'hui considérés comme le monde civilisé.

De 1978 à 2000 Israël a occupé des zones du Liban allant de leur frontière commune jusqu'à Beyrouth. Afin de soulager ses forces armées, l'Etat hébreu créa une sorte de milice en recrutant "l'Armée du Sud-Liban", d'abord commandée par le Major Saad Haddad, qui quitta l'armée libanaise en 1976 avec une centaine d'hommes, et plus tard par le Général Antoine Lahad. Tous deux étaient chrétiens, et leurs troupes (armées, entraînées, nourries et vêtues par Israël) étaient principalement constituées de Chiites musulmans du Sud. Environ un tiers de la force, qui comptera plus tard plus de 10.000 soldats, était chrétienne. Certains se joingnirent car ils n'acceptaient plus les factions armées palestiniennes qui contrôlaient le sud de leur pays. D'autres s'engagèrent pour l'argent. En effet, cette région a toujours été considérée comme la plus pauvre du Liban. L'ALS était connu pour sa cruauté, fait confirmé lors de l'ouverture au public des chambres de torture après le retrait d'Israël en 2000, et par le nombre élevé de déserteurs.

Lorsqu'Israël se retira de Beyrouth, l'eau, source de toutes les convoitises, atteignit son plus haut niveau durant l'invasion de 1982. De ce fait, sa partie du Liban engagea de plus en plus de soldats. Après s'être emparé de 3.500 km2, environ un tiers du pays et comprenant à peu près 800 villes et villages, l'Etat hébreu se retrouva en 1985 avec seulement 500 km2 de terres et 61 villages, désertes pour la plupart. Le Hezbollah, en tête de la résistence qui avait forcé les Israéliens à abandonner la majeure partie de ses territoires conquises, exigea le retour inconditionnel de l'ensemble du territoire libanais. Il intensifia ses attaques, provoquant ainsi la mort de soldats IDF, un acte jugé inacceptable par la plupart des Israéliens. Ainsi l'armée israélienne mit l'ALS entre elle et le Hezbollah pour payer un prix qu'Israël ne pouvait plus se permettre. Le Hezbollah enlevait des soldats de l'ALS, et l'ALS et Israël kidnappaient des Chiites. Les deux camps s'entretuaient, et les civils n'étaient pas épargnés. C'est ainsi que les querelles sanglantes commencèrent. Le 17 mai 1999, les Israéliens élirent pour Premier ministre Ehud Barak suivant la promesse de sortir Israël du bourbier libanais dans lequel les avait mis Ariel Sharon, une aventure qui avait déjà coûté la vie d'un milliers d'Israéliens.

M. Barak annonça le retrait du Liban en bon ordre en juillet 2000, pour autant que le Liban accepte certaines conditions. Le gouvernement libanais, poussé par le Hezbollah, rejeta ces conditions et exigea un retrait total de l'armée israélienne conformément aux résolutions 425 et 426 de l'ONU de 1978. Tout d'un coup et sans avertissement, le Premier ministre Ehud Barak quitta le Liban deux mois plus tôt que prévu, c'était le 23 mai 2000. Ses clients de l'ALS et les Libanais qui avaient travaillé pour l'occupation durant les 22 dernières années furent pris au dépourvu. Certains s'enfuirent vers Israël, mais la plupart restèrent sur le territoire libanais. Le personnel de l'ONU a lancé un appel urgent afin d'éviter un massacre par le Hezbollah. Le Hezbollah attaqua, mais rien ne se produisit.

Cheikh Naïm Kassem, secrétaire général adjoint du Hezbollah et membre fondateur du parti, écrivit un passionnant ouvrage partisan sur la création et la grandeur du Hezbollah. Sa version des faits de 2000 est néanmoins confirmée par les témoins d'autres sectes libanaises (y compris ceux qui ont risqué leur vie) et l'ONU. 'Cela ne fait aucun doute que certains jeunes combattants, ainsi que quelques citoyens de la région, ont un désir ardent de vengeance. Particulièrement ceux qui sont conscients de ce que les collaborateurs et leur famille ont infligé aux Moudjahidin et à leurs proches dans les villages occupés,' écrivit-il dans "Hizbullah: The Story from Within. Les dirigeants de la Résistance ont lancé un avertissement interdisant une telle action et jurant qu'ils puniraient quiconque ne se plierait pas au nouvel ordre.' Le Hezbollah s'est emparé des armes israéliennes, qu'il utilise contre l'Etat hébreu, et a livré les prisonniers miliciens de l'ALS au gouvernement sans en avoir tué un seul. Est-ce de la barbarie?

Cheikh Naïm Kassem a qualifié la libération du Sud-Liban comme "la plus magnifique et la plus importante victoire sur Israël depuis le début de l'occupation (de la Palestine) il y a 50 ans. Cette libération a été obtenue par la plus faible de toutes les nations, et ce grâce à une résistance utilisant les moyens les plus modestes, et non par des armées possédant des arsenals militaires puissants." Cependant, ce qui a le plus impressioné la majorité des Libanais, en plus de la victoire du Hezbollah contre Israël, c'est son refus de tuer les collaborateurs. Ceci constitue un triomphe sur le tribalisme qui a rendu la vie impossible et séparé la société libanaise depuis sa fondation. Les Chrétiens de l'armée libanaise que j'ai rencontrés ont admis que pour leur part, ils se seraient livrés à des atrocités. Le Hezbollah jouait sans doute à la politique au Liban, mais refusait de se prêter au jeu de la politique libanaise. Ce que le parti recherchait au Sud-Liban n'était pas la vengeance mais la confiance du peuple, c.-à-d. à travers les votes. Entre 1982, année de sa fondation, et la victoire en 2000, le Hezbollah a accompli l'exploit en devenant, en plus d'être une force armée, un parti politique avancé et efficace. Il renonça à sa première idéologie qui consistait à faire du Liban une république islamique, et déclara sa volonté de voir un jour, Chrétiens, Musulmans et Druzes vivre en harmonie. Lorsque le parti présenta des candidats pour l'élection des représentants au parlement, certains d'entre eux inscrits sur la liste électorale étaient des Chrétiens. Il gagna 14 sièges.

Tout comme les précédents ennemis d'Israël, le Hezbollah a recours aux armes du faible: des voitures piégées, des embuscades, quelques rares rafales de petites roquettes et des kamikazes. La différence est que le parti utilise ces armes de manière intelligente, conjointement avec un programme polique intransigeant. A l'instar d'Israël qui a perdu un milliers de soldats sur le champ libanais, le Hezbollah sacrifia 1.276 'martyrs'. Il s'agit là du seul groupe arabe ayant un nombre de victimes pratiquement égal à celui d'Israël. L'Organisation de Libération de la Palestine perdait souvent des milliers de commandos contre une dizaine de soldats israéliens, et le Hamas voyait la plupart de ses dirigeants assassinés et des milliers de ses cadres capturés sans jamais rien apporté. L'exploit du Hezbollah (une ironie pour un parti religieux dirigé par des hommes portant des turbans) tient au fait qu'il s'est adapté et fait partie de l'époque moderne. Il filmait les embuscades qu'il tendait aux convois israéliens et les diffusait le soir-même. Il capturait des soldats israéliens pour obliger l'Etat juif à relacher des centaines de prisonniers, et ainsi récupérer les leurs. Il construisait des blocs de pierres qui explosaient lorsque des patrouilles israéliennes passaient à proximité. Il envoyait des drones dans le but de prendre des photos de reconnaissance, tout comme le fit Israël avec le Liban. Il maintenait un site internet sur lequel il privilégiait les faits plutôt que la grandiloquence arabe traditionnelle. Si Israël s'était retrouvé face à un ennemi tel que le Hezbollah en 1948, l'issue de sa Guerre d'Indépendance aurait été toute autre. Et l'Etat hébreu, dont l'armée a du respect pour le parti chiite, en est conscient.

Ceci explique pourquoi, après avoir échoué dans l'élimination du Hezbollah pendant l'occupation du Liban, Israël tente de l'anéantir aujourd'hui. Selon le point de vue d'Israël, le succès militaire du Hezbollah constitue un impardonnable péché. Même si Israël décrit le Hezbollah comme étant le pion de la Syrie et l'Iran, c'est auprès des Libanais que le parti bénéficie du soutien. Par ailleurs, il fait une chose que ni la Syrie ni l'Iran ne font : se battre pour les Palestiniens. Le 12 juillet, le Hezbollah attaqua une unité de l'armée israélienne, capturant par la même occasion deux soldats. Le parti déclara qu'il négocierait indirectement et les échanger contre des prisonniers libanais et palestiniens en Israël, comme par le passé. Il précisa bien que son attaque était portée dans le but de soutenir les Palestiniens en état de siège à Gaza suite à la capture d'un autre soldat israélien la semaine dernière. L'ensemble du monde arabe avait gardé le silence lorsqu'Israël réoccupa les colonies à Gaza et bombarda le territoire.

La riposte du Hezbollah humilia les régimes arabes dont la plupart ont condamné ses actions, ainsi qu'Israël. Personne n'en a été surpris. En effet le Hezbollah a toujours soutenu les Palestiniens. La plupart des soldats ont été entraînés par l'OLP dans les années 1970 alors que les Chiites ne possédaient pas encore leurs propres militants. Le Hezbollah a failli provoquer la colère de la Syrie en 1986 lorsqu'il prit le parti d'un autre groupe chiite qui attaquait les camps de réfugiés palestiniens à Beyrouth. Le Hezbollah n'a jamais cessé de défendre la cause palestinienne. La capture, le mois dernier, de deux soldats israéliens a fait comprendre à l'Etat juif qu'il ne pouvait pas attaquer les Palestiniens à Gaza et en Cisjordanie sans s'attendre à une réaction de la part du parti.

Alors Israël, qui considère son traitement des Palestiniens sous l’occupation comme une affaire interne dans lequel ni les Nations Unies ni les pays arabes n’ont le droit d’interférer, calibra sa riposte de telle sorte que l’Etat ne pouvait pas l’emporter. En effet, au lieu de négocier avec le Hezbollah et obtenir ainsi la libération de ses soldats, Israël lança une attaque de grande envergure sur le Liban. Les rapports indiquent que l’Etat hébreu a déjà largement dépassé le nombre de tonnes de bombes larguées sur le pays durant l’invasion en 1982 menée par Ariel Sharon. Le but mentionné était de forcer une part importante du peuple libanais d’exiger le désarmement du Hezbollah par le gouvernement une bonne fois pour toute. Mais cela n’arriva pas. La destruction massive du Liban par Israël a eu pour effet de renforcer la position du Hezbollah au pays. Sa cote de popularité avait été bas depuis l’année dernière, lorsque le parti refusa d’exiger l’évacuation de l’armée syrienne suite à l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafik Hariri. Le Hezbollah pressentit que Washington était en train d’orchestrer une campagne anti-syrienne pour servir leurs intérêts, plutôt que ceux du Liban.

Après tout, la Syrie avait participé à la fondation du Hezbollah après l’invasion israélienne, et l’encouragea à défier et à vaincre l’occupation, mais également à expulser les Américains du Liban. Pour sa part, la Syrie a permis à l’Iran (dont les dirigeants religieux orientèrent le Hezbollah et dont les Gardes Révolutionnaires apportèrent des instructions tactiques très utiles) d’envoyer des armes à travers son territoire vers le Liban. Néanmoins les dirigeants du Hezbollah bénéficient d’un soutien suffisamment fort pour affirmer leur indépendance face aux deux alliés à chaque fois que les intérêts ou idéologies sont en contradiction. (J’en ai fait l’expérience directe, quoique sans gravité, en 1987. Lorsque le Hezbollah me kidnappa devant un poste de contrôle de l’armée syrienne, la Syrie insista pour que je sois relâché dans le but de montrer que le contrôle syrien sur le Liban ne pouvait être ignoré. Malheureusement, le Hezbollah ne tint pas compte de la demande.) Malgré les quelques rares pressions syriennes, le Hezbollah refusa de s’engager dans un quelconque combat contre les milices libanaises. Le parti garda ses distances de toute guerre civile et concentra tous ses efforts à vaincre Israël et ses substituts de l’ALS.

Le succès, qui n’a rien de remarquable, du Hezbollah lors des premières élections parlementaires pro-syriennes était principalement dû au changement de la loi électorale, mais pourrait également être dû en partie à son apparente position pro-syrienne. Maintenant, Israël a sauvé le Hezbollah et fait de son secrétaire général, Hassan Nasrallah, non seulement l’homme le plus populaire du Liban, mais également de l’ensemble du monde arabe. Un sondage effectué par « le Centre de Beyrouth pour les Recherches et les Informations » révèle que 80% des Chrétiens libanais soutenaient le Hezbollah. Le pourcentage représentant les autres communautés était plus élevé. Dès lors, lorsque de faux rapports annoncèrent que le Hezbollah avait coulé un deuxième navire de guerre israélien, il n y a rien de surprenant à ce que la zone qui a célébré cette acte en tirant dans les airs les plus bruyant coups de feu, ait été Ashrafieh, le cœur de Beyrouth-est chrétien. A la différence de 1982, lorsqu’il pouvait encore compter sur les milices chrétiennes, l’Etat hébreu n’a aujourd’hui plus aucun ami au Liban.

Israël a sous-estimé la riposte libanaise face à ses attaques, tout comme le Hezbollah a sous-estimé l’opinion israélienne. Tirer des roquettes sur Israël n’a pas divisé les Israéliens et ne les a pas non plus poussé à demander la fin de la guerre comme l’avait planifié le parti. Les Israéliens, tout comme les Libanais, se rallièrent à leurs soldats dans un combat qui prend des proportions de vie ou de mort pour les deux camps. Contrairement à Israël, qui a à chaque fois utilisé le même scénario raté au Liban depuis sa première attaque sur Beyrouth en 1968, le Hezbollah est connu pour tirer les leçons de son passé. Après la riposte israélienne suite au bombardement de roquettes sur Haifa et Netanya dans le nord, Nasrallah n’a pas porté à exécution sa menace de lancer des roquettes au-delà de Tel Aviv. Aujourd’hui, il déclare qu’il le ferait seulement si Israël prend pour cible le centre de Beyrouth.

Si les Nations Unies avaient un quelconque pouvoir, ou si les Etats-Unis exerçaient leur pouvoir de manière responsable, un cessez-le-feu total et un échange de prisonniers auraient été obtenus il y a des semaines. Le Moyen-Orient aurait alors attendu la crise suivante. Les crises continueront à se produire tant que le problème palestinien n’est pas résolu. Mais au moins le Liban n’aurait pas été détruit, des centaines de personnes n’auraient pas été tuées, et la haine entre Libanais et Israéliens n'aurait pas pris des proportions aussi dévastatrices.

Le 13 juillet, le Premier ministre israélien, Ehud Olmert, déclara : « C’est une occasion unique pour pouvoir changer les règles au Liban. » Pourtant Israël joue encore et toujours au même jeu en suivant les mêmes règles dépassées et inefficaces. En effet, l’Etat hébreu ordonne au Liban de désarmer le Hezbollah ou de faire face à une destruction, comme en 1975 lorsqu’il exigea le démantèlement de l’OLP. A cette époque, la plupart des Libanais avaient combattu l’OLP et détruit le pays de l’intérieur. Aujourd’hui, le raisonnement du peuple libanais a changé. En effet, ils préfèreraient la guerre à une autre guerre civile : Nous préférons être tués par les Israéliens plutôt que de nous entretuer. Que peut encore faire Israël contre eux ? Il a bombardé l’ensemble du pays, détruit ses infrastructures restaurées à un prix mirobolant, l’a assiégé et y a même envoyé à nouveau ses troupes. Israël continue d’insister sur le fait qu’il finira par détruire le Hezbollah en quelques semaines, bien qu’il n’ait pas réussi à accomplir cet exploit entre 1982 et 2000 alors qu’il avait à sa disposition des milliers de troupes terrestres et une force locale par procuration pour l’aider. Quelle arme secrète nous cacherait-il cette-fois ?

3 août

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